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International
« On a vraiment de bons professeurs qui savent faire aimer leurs matières »
Danaë Danycan : Je suis née en Bretagne et j’ai fait toute ma scolarité là-bas jusqu’en Terminale où j’ai déménagé à Montpellier. J’ai alors passé un Bac S et j’ai tout de suite tenté d’entrer à l’EPITA.
En fait, j’ai d’abord longtemps voulu devenir vétérinaire – c’était un rêve de petite fille – avant de réaliser que ce n’était pas exactement ce que j’imaginais. C’est finalement au lycée que j’ai commencé à m’intéresser au métier d’ingénieur et que j’ai décidé de m’orienter dans cette voie. En devenant ingénieur, on peut travailler dans différents secteurs et même faire de la recherche, ce qui m’intéresse beaucoup. J’ai aussi choisi l’EPITA pour la même raison : même si je suis très attirée par l’aéronautique et le spatial, je ne voulais pas faire une école spécialisée là-dedans car cela me semblait trop ciblé. Je savais qu’en rejoignant une école d’informatique, j’allais pouvoir travailler ensuite un peu partout.
Au collège, via un club d’informatique. Nous avions eu l’occasion de faire un petit robot que l’on pouvait ensuite programmer et cela m’avait déjà beaucoup plu à l’époque.
À partir du moment où j’ai commencé à vouloir rejoindre l’EPITA, je me rendais fréquemment sur le site de l’école pour voir s’il y avait de nouveaux articles ou me renseigner sur les futures Journées Portes Ouvertes. C’est comme ça que je suis tombée sur l’annonce de cette bourse. Au début, je n’ai pas voulu tenter ma chance, en pensant ne pas pouvoir en bénéficier, mais ma mère m’a convaincue d’essayer et, au final, je l’en remercie car elle a eu raison !
C’est encore mieux que ce que j’imaginais ! On a vraiment de bons professeurs, qui savent faire aimer leurs matières. Par exemple, même si je n’aimais pas trop la physique au lycée, je trouve ça plus intéressant aujourd’hui. Bon, après, c’est vrai que l’on travaille plus qu’au lycée ! (rires)
Il y en a beaucoup, mais j’aime particulièrement les travaux pratiques (TP) de programmation : je n’ai pas forcément fait beaucoup de code avant d’intégrer l’école et c’est toujours très satisfaisant de réussir, de voir que l’on progresse. J’aime aussi les cours d’algorithme. À ce sujet, un professeur nous a récemment fait un cours pour nous faire comprendre la différence entre algorithmie et programmation… et ça change vraiment notre point de vue !
Oui et non car je prends surtout conscience que l’informatique est avant tout un mélange. Il y a un peu de maths, un peu de physique, un peu de tout… C’est une nouvelle chose, composée de choses que je connaissais déjà, et c’est ça qui me plaît. J’ai aussi l’impression que les cours que l’on suit nous serviront tous, d’une façon ou d’une autre, dans le futur, ce qui n’était pas forcément le cas au lycée. On se concentre sur ce qui peut nous être utile en informatique. C’est concret.
Oui et j’ai eu la chance de pouvoir me faire rapidement des amis et, même quand on a sept heures de trou, on reste sur le campus pour travailler ensemble sur nos TP. C’est dire si l’ambiance est bonne !
Pour les Majeures, il y en a deux qui m’attirent clairement : celle sur la Santé et celle sur l’intelligence artificielle et le Big Data. Pour l’International, l’idéal serait le Japon ou Berkeley aux Etats-Unis. Sinon, pourquoi par la Chine ou la Russie ? On verra ce qu’il sera possible !
Vous êtes une future bachelière ? Tentez d’obtenir une bourse pour intégrer l’EPITA !
Live Bachelor Cybersécurité le lundi 14 mars 2022 de 18h à 20h.