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Nieveetha Mohanaraj (EPITA promo 2017), invitée à la table-ronde de l’université du numérique du Medef

Présidente de l’Association pour le Développement Durable (AEDD) de l’EPITA, Nieveetha Mohanaraj (EPITA promo 2017) a participé en tant qu’intervenante à la table-ronde « Les métiers changent : anticiper et manager les compétences de demain » organisé le 17 mars 2016 par l’université du numérique du Medef.

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Nieveetha Mohanaraj

association_developpement_durable_epita_table-ronde_presidente_etudiante_metiers_intervention_anticiper_manager_competences_universite_numerique_medef_2016_01.jpgQuelles sont les missions de l’AEDD ?
C’est une association étudiante à vocation humanitaire. Notre première mission, c’est la promotion de l’informatique dans les pays en développement. Nous récupérons donc du matériel informatique au sein du Groupe IONIS pour le recycler et l’envoyer dans différents pays. À côté de cela, l’AEDD s’intéresse également au bien-être des étudiants de l’EPITA. Ainsi, elle se charge de mettre en place la démarche RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises) au sein de l’école à travers les quatre piliers du développement durable : la responsabilité économique (financer l’économie, de manière éthique), la responsabilité sociale (développer une gestion engagée et loyale des ressources humaines), la responsabilité civique (lutter contre l’exclusion, promouvoir l’éducation et la culture) et la responsabilité environnemental (agir contre le changement climatique).

Combien de membres compte l’association ?
Actuellement, nous sommes cinq à composer le bureau de l’AEDD. Nous n’avons pas fondamentalement besoin de plus de membres car nous travaillions surtout sur des projets à long terme. Si jamais un jour nous décidons de nous lancer dans la création d’événements, il nous faudra peut-être agrandir notre staff. En attendant, ce n’est pas le cas.

Comment t’es-tu retrouvée à participer à cette table-ronde ?
Étant active dans la vie associative – je suis également vice-trésorière de l’association Episport -, Christian Dujardin, le directeur des études du Cycle Ingénieur de l’école, m’a demandé si j’étais intéressée. Je me suis dit que ce serait une bonne expérience et un bon moyen de promouvoir l’EPITA.

Quels étaient les points sur lesquels tu as insisté quant au management de demain ?
J’ai souhaité abordé plusieurs points que je trouve importants pour l’épanouissement des employés. Il y a d’abord l’autonomie car, même s’il existe des objectifs donnés, il faut être capable de laisser une certaine liberté aux employés. Dans le même registre, l’ambiance sur le lieu de travail me semble également un facteur important. J’ai également abordé la nécessité d’avoir la possibilité de progresser, à la fois d’un point de vue technique et hiérarchique. J’ai aussi insisté sur la prise en compte de la créativité des salariés, afin que ces derniers puissent directement mettre à profit dans l’entreprise leur capacité à innover. Enfin, je suis revenue sur l’ouverture à l’International car je pense qu’il est toujours bénéfique de pouvoir se projeter, découvrir de nouveaux horizons et d’autres façons de travailler, de penser.

As-tu pu également abordé l’activité de l’AEDD ?
Bien sûr. J’en ai notamment parlé au moment où la discussion portait sur la prise de responsabilités, avec le gap possible entre la fin des études et le début de leur vie professionnelle. Selon moi, ce gap n’est pas si grand, surtout lorsqu’on a la chance de pouvoir s’impliquer au sein d’une association étudiante. Ce genre d’expérience permet d’être responsable, de mener à bien des projets, de travailler en équipe, etc. C’est un bon avant-goût de ce qui attend les étudiants une fois qu’ils sont en entreprise.

Était-ce la première fois que tu participais à une table-ronde ?
J’avais déjà pu assister à plusieurs tables-rondes, comme celle récemment organisée par l’EPITA autour des « DigitalWomen », mais c’est la première fois que j’officiais en tant qu’intervenante. C’était assez impressionnant car, devant moi, il n’y avait que des chefs d’entreprise et des parlementaires. La salle était pleine, mais c’était l’identité des personnes qui me stressait plus que le nombre de gens présents. Je suis contente d’avoir pu expérimenter ça : cela me permettra sans doute de ne plus avoir le trac à l’avenir.

L’événement a-t-il aussi une bonne occasion pour nourrir ton réseau professionnel ?
Effectivement. Outre les personnes du Medef et les intervenants de la table-ronde, de nombreux chefs d’entreprise présents m’ont laissé leur carte de visite ou m’ont directement contactée via LinkedIn.

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