Green IT : les éco-innovations de rupture
La troisième édition du colloque consacré aux nouvelles technologies et au développement durable aura lieu le 20 octobre 2011 à l’EPITA.
Pour survivre, l’humanité doit diviser par quatre son empreinte écologique actuelle à l’horizon 2050. Seules les éco-innovations de rupture permettront d’atteindre cet objectif ambitieux. Qu’est-ce qu’une éco-innovation de rupture ? Quel est leur lien avec les technologies de l’information et de la communication (TIC) ? Pourquoi leur capacité à accompagner des changements profonds de comportement est-elle un élément-clé pour atteindre les objectifs du développement durable ? Quels sont les caractéristiques communes à toutes les éco-innovations de rupture ? Faut-il se méfier des effets rebonds ? Venez découvrir ces innovations qui changeront votre vie d’ici 5 ans.
Le 20 octobre 2011, pour cette troisième édition du colloque Green IT, plusieurs intervenants se succèderont dans l’après-midi, avant de discuter autour d’une table-ronde, de 13h30 à 19h. Parmi eux, des entrepreneurs du domaine high-tech, des éditeurs de logiciels et des journalistes spécialistes des nouvelles technologies.
L’événement se clôturera par par un cocktail, l’occasion pour les participants de rencontrer les intervenants et d’échanger sur leurs expériences.
Tout sur le Green IT
L’EPITA a déjà organisé deux évènements Green IT en 2009 et 2010. Le premier portait sur le thème du « Green IT 1.0 / Green for IT » et le second sur « Les logiciels au service du développement durable ». Un troisième événement consacré au Green IT est organisé le 20 octobre 2011 après-midi à Paris, sur le thème des éco-innovations de rupture.
L’objectif de ce cette troisième édition est de présenter le concept d’éco-innovation de rupture au travers d’exemples concrets. Les orateurs font, si possible, une démonstration de leur technologie (vidéo de quelques minutes également possible).
L’ensemble des interventions portent sur les éco-innovations de rupture, c’est à dire les innovations dans le domaine des technologies de l’information et de la communication (TIC) qui visent à réduire l’empreinte écologique de l’humanité en favorisant des changements de comportements. Les deux idées fortes sont la « re-mutualisation » des biens et des services (co-voiturage, cloud computing, etc.) et la « gestion par exception » (agriculture de précision, smart city, optimisation de tournée, etc.).